La filiation biologique présente de multiples obligations pour le père. La confirmation de la paternité reste donc capitale pour honorer les impératifs qui y sont liés. Parmi les principales raisons d’y recourir, la peur d’élever l’enfant d’un autre demeure la plus palpable. Cet article vous aide à savoir dans quel cas vous devez envisager cette option.
Plan de l'article
Dans le cas d’un contentieux de filiation

Dans le cas d’un doute
Le manque de confiance chez les partenaires peut amener à effectuer un test ADN pour lever les doutes. Par exemple, dans les relations libres, le couple peut ne pas savoir avec exactitude la filiation paternelle de l’enfant. Pour confirmer celle-ci, un test de paternité importe pour établir ou infirmer le lien de filiation entre le bébé et le présumé père. Ce test devient alors un important enjeu, puisqu’il détermine l’attribution du nom du père et l’accomplissement des obligations parentales comme :
- Les pensions alimentaires ;
- Les subsides ;
- L’établissement de l’acte de naissance ;
- La visite ou la garde de l’enfant, etc.
Dans la procédure d’une identification d’enfant

Dans le cas des PMA
Vous pouvez recourir également au test de paternité dans le cas des situations médicales floues. Les parents biologiques d’un enfant né d’une procréation médicalement assistée peuvent se rassurer avec un test. Il leur permet de savoir si la fécondation in vitro ou l’insémination s’est bien passée. Cela écarte la possibilité que le bébé soit échangé à la maternité. Le test ADN donne des réponses aux problématiques tant éthiques que scientifiques par rapport à la filiation biologique. Le résultat d’un test de paternité implique aussi de nombreuses décisions sur le plan juridique comme dans la vie des partenaires et bien sûr dans la vie de l’enfant.

















































